Prenons un exemple concret : avant toute négociation, le coût de l’assurance d’un crédit immobilier s’élève à 23 750 €. Après une négociation fructueuse et le choix d’une délégation d’assurance, ce montant chute de manière spectaculaire à 3 300 €.
Ce n’est pas simplement une question d’économies, mais cela ouvre également un éventail d’options financières supplémentaires pour l’emprunteur. Si nous analysons les détails, une telle réduction des coûts d’assurance peut permettre de renégocier le taux nominal du crédit.
Par exemple, pour un prêt avec un taux d’usure de 6,29 %, une baisse d’environ 35 points de base sur le taux nominal – en supposant que l’assurance ne coûte que 0,38 % – pourrait ramener le TAEG ajusté à 5,19 %.
Cela a donc un impact tangible sur le coût total de l’emprunt et potentiellement sur la faisabilité même du projet immobilier.