La convention Aeras, qui implique plusieurs parties, voit son application renforcée par la loi Lemoine. Désormais, les emprunteurs ne sont plus tenus de fournir des informations médicales sur un cancer ou une hépatite C cinq ans après la fin de leur traitement.
Cela représente une plus grande inclusion et moins de discrimination pour les emprunteurs concernés, leur permettant d’envisager l’avenir avec confiance.
La révision de cette convention montre l’engagement des différentes parties prenantes à améliorer l’accès au crédit immobilier, en tenant compte des avancées médicales et de la nécessité d’adapter la législation aux réalités des parcours de santé.